vendredi 29 avril 2016

POLITIQUE

AFRIQUE/NIGERIA -

Enlèvement du Vicaire général

du Diocèse d’Otukpo
 
Abuja (Agence Fides) – Le Père John Adeyi,
Vicaire général du Diocèse d’Otukpo, dans
l’Etat de Benue, a été enlevé par des inconnus
le Dimanche 24 avril, après avoir célébré la
Messe dans l’une des Paroisses qui lui étaient
confiées au sein du village d’Okwungaga. La
voiture du prêtre a été bloquée sur la route
reliant Odoba Otukpa à Okwungaga.
Selon la famille, les ravisseurs ont demandé

une rançon de 25 millions de nairas (environ
100.000 €uros) pour libérer le prêtre, rançon
qui a ensuite été ramenée à 10 millions de
nairas (45.000 €uros environ)
La région où a eu lieu l’enlèvement est

caractérisée depuis longtemps par une série
d’enlèvements de personnes ayant pour but
l’extorsion de fonds.


(L.M.) (Agence Fides 29/04/2016)

L'Agence Fides du Vatican existe
depuis 2007.




mardi 26 avril 2016

ROME -
PAPE François
à 100 000 adolescents
 
« À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples :
si vous avez de l’amour les uns pour les autres »
(Jn 13, 35).
Chers jeunes garçons et filles, quelle grande responsabilité
le Seigneur nous confie aujourd’hui ! Il nous dit que les
gens reconnaîtront les disciples de Jésus à la façon dont
ils s’aiment entre eux. L’amour, en d’autres termes, est la
carte d’identité du chrétien, c’est l’unique ‘‘document’’
valide pour être reconnu disciples de Jésus

samedi 23 avril 2016

DANS L'ESPRIT

« Jésus est vivant ! »,
telle est « l’annonce de la vie
chrétienne »,
affirme le pape François.
Il a prononcé l’homélie dans la chapelle de
la Maison Sainte-Marthe ce vendredi 22 avril,
jour du 43e anniversaire de
sa profession religieuse.
« Nous, chrétiens, a dit le pape, par la foi,
nous avons l’Esprit Saint en nous, qui nous
fait voir et écouter la vérité sur Jésus, mort
pour nos péchés et ressuscité. Ceci est
l’annonce de la vie chrétienne : Le Christ
est vivant ! Le Christ est ressuscité !
Le Christ est parmi nous dans la
communauté, Il nous accompagne sur
notre chemin. »
 
(Zenith)

vendredi 22 avril 2016

POLITIQUE

AMERIQUE/CHILI -

Témoignage
de l’Evêque de Temuco

à propos des incendies d’églises

et de la résolution
du conflit Mapuche
 
Temuco (Agence Fides) – L’Evêque de
Temuco, S.Exc. Mgr Hector Eduardo Vargas
Bastidas, S.D.B., dans un témoignage envoyé
à Fides, illustre la situation après les attaques
contre les églises perpétrées récemment dans
le sud du Chili. Désormais, ce sont neuf
églises et chapelles qui ont été incendiées au
cours des premiers mois de cette année et sur
place ont été retrouvés des messages relatifs
à la cause mapuche (voir Fides 19/12/2015;
09/03, 05/04 et 13/04/2016). Au niveau national, la population mapuche
compte plus d’un million de personnes. Au
sein du Diocèse de Temuco, il existe des
prêtres, des diacres, des religieux, des
animateurs et des catéchistes appartenant à ce
peuple qui, chaque jours, oeuvrent pour
annoncer la Bonne Nouvelle.
Mgr Héctor Vargas réaffirme à Fides ce qu’il a

déjà déclaré aux moyens de communication
après les attaques contre les églises et
chapelles de la région de La Araucanie et de la
province d’Arauco : Il serait même « disposé
à donner sa vie » pour résoudre le conflit qui
existe dans la zone.
« Le thème de fonds est constitué par les

graves problèmes qu’ont subi depuis
longtemps les mapuches – explique l’Evêque –
et les atermoiements de la part de l’Etat qui se
prolongent depuis plus d’un siècle ».
« L’affaire des incendies dans les temples

est incompréhensible, en particulier lorsque les
églises ont été pendant longtemps au service
des communautés mapuches et du peuple
mapuches, non seulement sous un profil
religieux mais aussi culturel et de promotion
humaine ainsi qu’en ce qui concerne la
défense de leur culture » souligne l’Evêque de
Temuco.
« De notre part, si l’offrande de la vie pouvait

aider à résoudre ce grave problème, nombre
d’entre nous seraient peut-être disposés à faire
ce geste » a-t-il conclu.
(CE) (Agence Fides 22/04/2016)

jeudi 21 avril 2016

DANS L'ESPRIT

ASIE/COREE DU SUD -

Jeunes missionnaires

de la Miséricorde
 
Séoul (Agence Fides) - Un groupe d’élèves de
collèges et lycées de Séoul ont été nommés
« Jeunes missionnaires de la Miséricorde »
avec pour mission d’aider les jeunes de leur
âge dans toutes les circonstances de la vie,
dans les difficultés humaines, les études, les
problèmes matériels et spirituels. L’initiative
a été lancée par le Département pour les
Vocations et la Jeunesse de l’Archidiocèse de
Séoul, en tant que modalité visant à
encourager et à responsabiliser les jeunes au
cours de l’Année du Jubilé.
Comme cela a été indiqué à Fides, 35

représentants de l’Action catholique des
Jeunes et 13 délégués du Mouvement des Jeunes étudiants catholiques coréens (Korea Young Catholic
Students) ont reçu de S.Exc. Mgr Peter Chung
Soon-taek le mandat d’être de « jeunes
missionnaires de la Miséricorde » et de mener
leur mission spécifique durant l’Année Sainte,
dans les milieux où ils vivent : les familles,
l’école, les groupes d’amis.
« Les jeunes constitueront un exemple de foi

pour leurs camarades » observe le Père
Stephan Kim Sung-hoon, responsable du
Département pour les Vocations et la Jeunesse.
« Nous croyons qu’il existe une grande
différence entre la prédication que peut faire
un prêtre et les paroles que peut dire un ami »
explique-t-il.
La plus importante mission de ces jeunes

missionnaires – explique une note envoyée à
Fides – sera celle de « se convertir eux-mêmes
et de porter la joie de l’Evangile aux amis qui
les entourent ». Les jeunes missionnaires de la
Miséricorde promettent de lire l’Evangile
chaque jour, de prier chaque jour, de soutenir,
de consoler et d’aider leurs camarades en
situation difficile.
(PA) (Agence Fides 21/04/2016)

mercredi 20 avril 2016

POLITIQUE

AFRIQUE/RD CONGO -

Incendie volontaire

de 139 habitations

provoqué par des agents de police en colère

après la mort d’un collègue
 
Kinshasa (Agence Fides) – Des agents de
police en révolte après la mort violente de l’un
de leurs collègues ont incendié 139 habitations
à la fin de la semaine dernière dans la zone de
Mombeleke, à Sankuru, dans le Kasaï oriental,
en République démocratique du Congo.
L’agent de police a été tué par les habitants
du village d’Asanga Kianga, qui s’opposaient
à l’arrestation d’un jeune accusé d’avoir
grièvement blessé son frère. La situation
demeure tendue et les habitants se sont
réfugiés dans la forêt. Les autorités locales ont
envoyé des militaires pour ramener le calme
parmi les agents de police. D’autres incidents
entre la population et la police ont eu lieu
le 18 avril à Kanina, une ville sise à 12 Km de
Kolwezi, au Katanga, dans le sud de la RDC.
Les affrontements ont éclaté lorsque les forces
de l’ordre sont intervenues pour récupérer les
corps de deux personnes tuées dans un
quartier de la ville.

(L.M.) (Agence Fides 20/04/2016)

lundi 18 avril 2016

POLITIQUE

AMERIQUE/CHILI -

Déclarations

de l’Archevêque de Conception

après les incendies d’églises

en territoire mapuche
 
Conception (Agence Fides) – L'Archevêque de
Conception, S.Exc. Mgr Fernando Chomali,
qui a œuvré pendant plusieurs années avec le
peuple mapuche, interpellé par la presse locale
après les incendies criminels ayant intéressé
différentes églises au cours de ces derniers
temps (voir Fides 13/04/2016) revendiqués
par de soi-disant défenseurs de la cause
mapuche, estime que le gouvernement, la
police, le parquet et les magistrats « sont très
bien informés sur les événements spécifiques
qui se passent mais ils ne reconnaissent pas
qu’il s’agit d’un problème politique requérant
une définition de l’Etat en ce qui concerne le
traitement du peuple mapuche ».
Mgr Chomali observe que « le manque

d’emplois, le faible niveau d’instruction et les
problèmes irrésolus en matière de propriété
des terrains » constituent les difficultés de fond.
« Il existe un malaise général au sein de la
zone à cause de la situation précaire de ses
habitants » souligne l’Archevêque en
réaffirmant que « reconstruire la confiance,
la justice pour le peuple mapuche et la paix est
une question qui prendra du temps et demande
des politiques étatiques claires et visibles le
plus vite possible ».
(CE) (Agence Fides 18/04/2016)

dimanche 17 avril 2016

FAMILLE SALESIENNE


YAOUNDE ( Cameroun)
Clôture du 6e Chapitre Provincial de l’ATE

Débuté le lundi 11 avril 2016, le Chapitre
Provincial a pris fin ce matin 17 avril 2016 par la
messe de clôture, présidée par le Père Provincial,
P. Nguema Miguel.
Quarante salésiens travaillant dans la Province
de l’ATE ( Afrique Tropicale Equatoriale) ont
participé à ce 6e Chapitre Provincial.
L’ATE comprend actuellement six pays :
Cameroun, Centrafrique, Congo Brazza, Gabon,
Guinée Equatoriale et Tchad.
Durant la messe, l’édition renouvelée des
Constitutions salésiennes ont été remises aux
directeurs des communautés, qui à leur tour les
remettront aux confrères.

A la fin de la messe, dans son allocution de
clôture, le Provincial a déclaré clos les travaux
du Chapitre Provincial.

vendredi 15 avril 2016

POLITIQUE

AFRIQUE/KENYA -

Messe à Nairobi

pour les quatre Missionnaires
de la Charité, de Mère Teresa,

assassinées au Yémen
 
Nairobi (Agence Fides) – Les religieux et
religieuses du Kenya feront mémoire des
quatre Missionnaires de la Charité –
Congrégation fondée par la Bienheureuse
Mère Teresa de Calcutta – tuées le 4 mars à
Aden, au Yémen (voir Fides 04/03/2016)
lors d’une Messe qui sera célébrée demain,
16 avril, en la Basilique de la Sainte Famille
de Nairobi.
L’une des quatre religieuses tuées, Sœur Mary

Judith Kanini, âgée de 41 ans, était en effet
kenyane. « Née dans une famille de huit filles,
avec une mère célibataire – peut-on lire dans
une note parvenue à l’Agence Fides – Sœur
Mary Judith Kanini a quitté sa maison de
Machakos en tant qu’Anastasia Kanini pour
rejoindre les Missionnaires de la Charité ».
En 2002, elle a commencé sa mission au
Yémen et sa dernière visite à sa famille,
au Kenya, remontait à 2011.
« Kodogo (le surnom qui lui fut attribué au

sein de sa famille) me dit qu’au Yémen la vie
est difficile et que les religieuses vivaient à
l’intérieur de leur clinique dans la peur
constante d’attaques » déclare la mère de la
religieuse tuée.
Les autres missionnaires tuées en compagnie

de Sœur Mary Judith Kanini sont Sœur M.
Marguerite, 44 ans, Sœur M. Reginette, 32 ans,
et Sœur M. Anselm, 57 ans, originaire du
Jharkhand, en Inde.
Le bilan total de l’attaque contre la structure

d’assistance aux personnes âgées et
handicapées gérée par les religieuses est d’au
moins 16 victimes alors que le Père Thomas
Uzhunnalil, salésien indien résidant au
couvent des religieuses, est toujours porté
disparu.
« Nous prierons également pour le salut du

Père Thomas Uzhunnalil » souligne le Vice
postulateur et chargé des rapports avec les
religieux des Pères Xavériens, le Père
Reginald Cruz.
(L.M.) (Agence Fides 15/04/2016)

jeudi 14 avril 2016

POLITIQUE

La visite du pape François en
Géorgie et en
Azerbaïdjan

du 30 septembre au 2 octobre
prochains est « importante », affirme Mgr
Giuseppe Pasotto, administrateur apostolique du
Caucase.
Il estime que le pape viendra « en messager de
paix et de dialogue » dans les colonnes de
l’agence catholique italienne SIR, mardi 12 avril.

« La visite du pape à ces terres est importante
pour deux raisons, explique Mgr Pasotto.
Premièrement, le pape se rend dans deux pays
(l’Arménie et l’Azerbaïdjan) qui sont en conflit
et tout le monde espère que la trêve, dans le
Nagorny-Karabakh, tiendra. » Deuxièmement,
poursuit-il, « le pape se rend dans une région,
le Caucase, où les communautés catholiques ne
sont pas nombreuses, mais ont une grande
valeur parce qu’elles savent tisser des liens
entre situations différentes, en suivant les
indications que le pape donne depuis le début ».

mardi 12 avril 2016

POLITIQUE

AFRIQUE/KENYA -

Communiqué final

de l’Assemblée plénière

de la Conférence épiscopale

dédié notamment

au grave problème

de la corruption
 
Nairobi (Agence Fides)« Le cancer de la
corruption tue actuellement notre pays.
Nous allons actuellement vers une société
sans Dieu, blessée par le tribalisme, au sein de
laquelle l’argent est devenu la seule idole ».
Tel est le fort cri d’alarme lancé par les
Evêques du Kenya dans le communiqué final
de leur Assemblée plénière.
Après avoir rappelé la visite apostolique du

Pape François au Kenya en novembre dernier
(voir Fides 25/11/2015), le document, envoyé
à l’Agence Fides, décrit une situation
extrêmement préoccupante : « Femmes et
hommes de la rue portent le fardeau de la
corruption. La majorité des kenyans languit
dans la pauvreté et se trouve incapable de
satisfaire leurs besoins de base. Ils n’ont pas
accès à des soins médicaux adéquats, pas plus
qu’à des structures scolaires décentes et à une
éducation de qualité ».
En particulier, ce sont les jeunes qui sont
touchés, remarquent les Evêques, étant
contraints à verser des pots-de-vin pour
trouver un travail ou dans tous les cas de
disposer de connaissances « en haut lieu ».
Les Evêques rappellent le cri du Pape François

s’adressant aux kenyans au cours de son
voyage : « Non à la corruption », une plaie qui
frappe tout un chacun, du monde politique à la
magistrature, de la police à l’école – des
étudiants ayant payé pour passer des examens
de manière malhonnête.
Une autre plaie dénoncée dans le document est

celle du tribalisme, jamais disparu mais qui
reprend actuellement vigueur, au point que les
Evêques affirment : « Nous voyons
actuellement tout au travers du prisme de
l’ethnicité ». La radicalisation des jeunes est
liée à cette situation. Cette dernière a lieu
« dans des groupes dangereux qui créent de
l’insécurité et portent à des comportements
déviants (…). Nous sommes alarmés par la
corruption des jeunes qui se traduit en
pots-de-vin, en drogue et en promotion de
l’immoralité sexuelle ».« Par conséquent – poursuivent les Evêques –
nous nous dirigeons vers une société sans
Dieu, qui transforme l’argent en une idole.
Les personnes tendent à vivre pour l’argent et
leur philosophie consiste à disposer du plus
possible de ressources financières, le plus
rapidement possible et par tous les moyens ».
Les Evêques concluent en invitant les kenyans

à la rescousse et à l’espérance, parce que
« le Christ a obtenu la victoire contre tout
désespoir. Nous devons tous combattre le mal
au-dedans de nous.
Nous devons nous engager, personnellement et
collectivement, à refuser toute forme de
corruption qui détruit actuellement notre tissu
social ».
(L.M.) (Agence Fides 12/04/2016)

samedi 9 avril 2016

B
 Brasilia et Don Bosco
 
L’histoire de la ville de Brasilia est étroitement
liée à Don Bosco et aux Salésiens. Selon la
tradition, le 30 août 1883 Don Bosco fit un
‘songe missionnaire’ où il prévit l’action
évangélisatrice de ses fils spirituels. Parmi les
endroits où ils auraient travaillé, il vit Brasilia.
Il n’y a pas de doute qu’à Brasilia, ils réussirent
à lancer, en peu de temps, un important
service en faveur de jeunes pauvres et besogneux
, comme voulait Don Bosco. Et à l’occasion du
82e anniversaire de la canonisation de Don
Bosco, les Salésiens ont reçu, de la société 
brésilienne, une reconnaissance pour leur
service.
(Agence salésienne ANS 08 04 2016)
 
 

vendredi 8 avril 2016

VATICAN


« A l’invitation du Patriarche oecuménique de
Constantinople et du Président de la République
hellénique, le Pape François se rendra samedi 16
avril sur l’île de Lesbos où, en compagnie de
S.S. Bartholomaios Ier et de S.B. l’Archevêque
d’Athènes et de toute la Grèce Hiéronyme II, il
rencontrera les migrants qui y séjournent »,
indique le P. Lombardi, chargé de la
Communication au Vatican.

vendredi 1 avril 2016

POLITIQUE


SOUDAN DU SUD -

Appel de l’Evêque de
Tombura-Yambio

en faveur de la libération

de l’ancien Gouverneur

de l’Etat d’Equatoria-occidental
 
Juba (Agence Fides) – « Tous les citoyens sont
égaux devant la loi et ont le droit d’être portés
devant un tribunal pour être punis selon la loi
et les articles de la Constitution » a affirmé
S.Exc. Mgr Edward Hiiboro Kussala, Evêque
de Tombura-Yambio, au Soudan du Sud, au
cours d’une rencontre avec la presse durant
laquelle il a demandé la libération de l’ancien
gouverneur de l’Etat d’Equatoria-occidental,
Joseph Bangasi Bakosoro, détenu en l’absence
de procès depuis le 22 décembre dernier après
avoir été arrêté par le service de sécurité
sud-soudanais
(National Security Services-NSS).
Mgr Kussala a souligné que, pour préserver la

paix de la nation et pour le respect des droits
fondamentaux, il doit être concédé à l’ancien
gouverneur la possibilité de se défendre devant
une cour de justice.
L’Evêque a rappelé que le Président, Salva

Kiir, a offert une amnistie à tous ceux qui ont
demandé pardon et la réconciliation dans le
cadre des accords de paix signés avec son rival,
Riek Machar, pour mettre fin à la guerre civile
ayant éclatée en décembre 2013. Les chefs
d’inculpation à l’encontre de Joseph Bangasi
Bakosoro ne sont pas connus et sa famille
affirme que sa santé se détériore actuellement
après des mois de détention.
(L.M.) (Agence Fides 01/04/2016)