samedi 27 juillet 2013

EGLISE




RIO DE JANEIRO

LE 26 JUILLET 2013

TREIZE JEUNES DE TOUS LES CONTINENTS

ONT MANGE AVEC LE PAPE FRANCOIS



Ils ont dit:

Marcelo Galeano, de La Paz (Bolivie), 23 ans, a témoigné: "Au début, nous étions silencieux …  à dire la vérité, cela a été une expérience de Dieu. Le pape est très simple. C'est un pasteur, un père. Chaque fois qu'il a parlé il l'a fait lentement. C'est un homme qui aime son Eglise, et qui aime les jeunes et a un grand souci des jeunes."

Marina, de Russie, a dit: "C'est plus facile pour un Russe de rendre visite au Pape qu'au pape de visiter la Russie! Il faut partager cette joie avec les autres."

Thomson, de Nouvelle Zélande a avoué avoir été  "sous le choc" et "terrorisé" quand il a su qu'il allait déjeuner avec le pape, avant d'ajouter: "Il nous a donné de nouveaux moyens pour aider les gens. Il ne nous a pas demandé à faire de grandes choses, mais d'agir dans nos communautés."

LE REGARD DE "MONDEACONSTRUIRE"

C'est maintenant une tradition. En 2000, au temps du Jubilé des jeunes à Rome, Jean Paul II avait invité cinq garçons et cinq filles, représentant les cinq continents. A ce groupe s'ajoutent deux du pays accueillant, et un autre du pays qui recevra les prochains JMJ.
Que la jeune Marina de Russie se soit exprimée ainsi, est un grand signe que les jeunes du monde entier souhaitent plus d'ouverture des frontières. Y travailler, c'est aussi un travail de "nouvelle évangélisation"
Les JMJ poursuivent leur tour du monde. Ils posent de plus en plus de questions aux jeunes. On a peu observé jusqu'ici les interrogations qu'ils adressent aussi aux gouvernants.
Nombre de journalistes avaient photographié aux JMJ de Czestochowa,  les militaires polonais faisant la courte échelle aux jeunes russes venus avec les trains gratuits qui leur avaient été offerts par l'Eglise et l'Etat de Varsovie. Pour la jeunesse de Moscou, c'était le premier passage de la frontière. Ils arrivaient au moment où tous les espaces étaient déjà occupés.
Pour prendre place dans l'assemblée, il fallait passer par-dessus les murs. Les souvenirs d'une guerre sanglante entre les deux pays étaient encore trop proches. Personne n'avait prévu cette solution. La réconciliation arrivait par de nouvelles portes.
                                                                                 Pierre Jarret

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