COREE DU SUD -
Initiative de prière pour le Jubilé
en faveur de la Corée du Nord
Séoul (Agence Fides) – « L’Eglise en Corée du
Nord est dans mon cœur » : tel est le nom de la
nouvelle initiative de prière lancée au sein de
l’Archidiocèse de Séoul. Ainsi que cela a été
indiqué à Fides par le Bureau des
Communications de l’Eglise locale, l’initiative a
été diffusée dans toutes les communautés
paroissiales qui s’engagent à se souvenir
quotidiennement dans la prière, au cours de
l’ensemble du Jubilé de la Miséricorde, de la
communauté des catholiques présente en Corée
du Nord.
« L’année 2015 marque le 70ème anniversaire de
la division de la Corée. En se préparant à célébrer
le Jubilé de la Miséricorde, l’Archidiocèse de
Séoul veut faire mémoire de l’Eglise catholique
en Corée du Nord, qui depuis lors vit des temps
difficiles ». L’initiative spéciale de prière a été
annoncée le 24 novembre au travers d’une Messe
en la Cathédrale de Myeongdong.
« En tant qu’Archevêque de Séoul et
Administrateur apostolique de Pyongyang, je
n’ai jamais oublié l’Eglise catholique en Corée
du Nord et les frères et sœurs qui s’y trouvent. Ils
ont toujours été dans mes prières et demeurent
dans nos cœurs » a déclaré S.Em. le Cardinal
André Yeom Soo-jung, en célébrant la Messe.
« La péninsule coréenne est l’une des régions
qui ont le plus besoin de la miséricorde de Dieu.
J’invite tout un chacun à s’unir à ce mouvement
de prière, en conservant à l’esprit les fidèles
catholiques du Nord, et en montrant notre amour
et notre préoccupation pour eux au travers de
prières continuelles » a-t-il remarqué. Les fidèles
sont invités à réciter chaque jour la « Prière pou
r la Paix et la Réconciliation ».
Selon les chiffres officiels, après la seconde
guerre mondiale et la libération de l’occupation
japonaise, 57 Paroisses existaient en Corée du
Nord et environ 5.200 catholiques y résidaient.
Après la guerre de Corée cependant, l’Eglise
catholique du nord a subi des persécutions de la
part du gouvernement et à ce jour, on estime qu’il
ne reste plus qu’un petit nombre de catholiques
qui vivent la foi en cachette.
(PA) (Agence Fides 26/11/2015)
jeudi 26 novembre 2015
mardi 24 novembre 2015
POLITIQUE
BANGUI
(ANS – Bangui)
– A
quelques jours de la visite
du Pape dans la République Centrafricaine,
partageons le témoignage du Père Salésien Désiré
Adjeckam, Directeur du Centre
de Formation et
de l’Institut Salésien d’Education Secondaire
« Don
Bosco » de Damala, à Bangui, sur les
activités des Salésiens au pays.
Activités qui ont
été rendues possibles en grande partie grâce au
soutien reçu
de la campagne «Espaces de Paix.
Ecoles pour la réconciliation dans la
République
Centrafricaine ».
Depuis
début septembre 2015, 250 enfants en
situation de vulnérabilité, certains
ex-combattants,
ont été envoyés par l’UNICEF au Centre de
Formation Don Bosco
de Damala, comme partie
du programme pour leur récupération et formation.
Le
groupe comprend 91 ex-combattants – 66
garçons et 25 filles.
Ils ont
commencé la première phase de formation
qui consiste dans l’alphabétisation
scolaire, avec
4 éducateurs qui les accompagnent : un pour
l’alphabétisation, un pour les arts plastiques, un
pour l’enseignement de la
morale religieuse et un
pour le sport. Il faut noter que, avant la formation,
tous sont soumis à un traitement médical pour la
prévention de maladies
transmissibles et
épidermiques. Il y a aussi un plan sanitaire pour
l’accompagnement psychologique des mineurs.
Ils sont
très heureux de recevoir cette formation.
Certains disent que la raison que les
avait portés
dans les groupes armés était le fait qu’ils ne
savaient que faire
dans la vie et ils se sentaient
obligés à prendre les armes. Mais il y en a
aussi
qui espère, dans l’avenir, de devenir un
professionnel et un bon citoyen.
Beaucoup
parmi eux regrettent ce qu’ils ont vécu
et ils sont engagés à aider les
familles et les
enfants qui se trouvent dans la même situation,
D’autres disent
qu’ils ont été manipulés et parfois
obligés à le faire par les « chefs
locaux »
Actuellement,
les enfants qui ont commencé la
première phase de la formation la clôtureront
le
30 novembre. Du 1er décembre 2015, ceux qui
participeront à la
deuxième phase se consacreront
essentiellement à l’apprentissage d’un métier.
Les
enseignants ont déjà préparé les programmes
prévus pour les différentes lignes
de formation.
Cependant, ils doivent aussi approuver un test
d’orientation pour
aider les élèves dans le choix
des professions offertes par le Centre Don
Bosco :
menuiserie, agriculture et élevage, mécanique,
écoles pour
chauffeurs, pour électriciens, maçons,
pour tailleurs et informatique.
La
première conclusion que l’on peut en tirer est
qu’ils sont heureux de recevoir
cette formation.
La preuve en est qu’ils sont toujours ponctuels, ils
arrivent
chaque matin une demi-heure avant le
début des leçons.
Publié le
19/11/2015
(ANS -Agence de Nouvelles des Salésiens de Don Bosco)
mardi 17 novembre 2015
POLITIQUE
ALGERIE -
Pour l’Episcopat,
« les attentats de Paris ne doivent
pas
donner raison à ceux qui savent
s’en servir pour instiller la haine »
Alger (Agence Fides) – « Vivant parmi les
musulmans, nous sommes témoins de leur
condamnation et de leur profonde humiliation de
savoir que ces actes ont été commis au nom de
l’islam » écrivent les trois Evêques d’Algérie,
dans une lettre envoyée à S.Exc. Mgr Georges
Pontier, Archevêque de Marseille et Président
de la Conférence des Evêques de France, et à
S.Em. le Cardinal André Vingt-Trois,
Archevêque de Paris, dans laquelle ils
condamnent les actes terroristes perpétrés à Paris
au soir du 13 novembre.
Dans leur missive, également parvenue à Fides,
Leurs Excellences NN.SS. Paul Desfarges,
Claude Rault et Jean Paul Vesco, respectivement
Evêque de Constantine et Administrateur
apostolique d’Alger, Evêque de Laghouat et
Evêque d’Oran, manifestent leur indignation
pour les attentats « planifiés de manière
diabolique ».
En exprimant leur « profonde compassion » aux
familles et aux amis des victimes, les Evêques
réaffirment leur conviction selon laquelle « rien
ne peut justifier ce massacre » et que « la
revendication de cette horreur perpétrée par une
organisation terroriste trop bien connue se cache
*derrière des prétextes religieux absolument
injustifiables ».
« Avec nos condoléances – ajoutent les Evêques
– nous exprimons également la crainte de voir se
confirmer et se renforcer les sentiments de
xénophobie et les attitudes anti-musulmanes qui
pèsent durement sur les fidèles de l’islam ».
« Nous espérons que ces actes innommables ne
donneront pas raison à ceux qui savent s’en
servir pour instiller la haine » concluent les
Evêques d’Algérie, qui affirment au contraire le
désir de « démontrer que la fraternité est possible
et que nos différences n’empêchent pas la
communion des cœurs et des esprits ».
(L.M.) (Agence Fides 17/11/2015)
Pour l’Episcopat,
« les attentats de Paris ne doivent
pas
donner raison à ceux qui savent
s’en servir pour instiller la haine »
Alger (Agence Fides) – « Vivant parmi les
musulmans, nous sommes témoins de leur
condamnation et de leur profonde humiliation de
savoir que ces actes ont été commis au nom de
l’islam » écrivent les trois Evêques d’Algérie,
dans une lettre envoyée à S.Exc. Mgr Georges
Pontier, Archevêque de Marseille et Président
de la Conférence des Evêques de France, et à
S.Em. le Cardinal André Vingt-Trois,
Archevêque de Paris, dans laquelle ils
condamnent les actes terroristes perpétrés à Paris
au soir du 13 novembre.
Dans leur missive, également parvenue à Fides,
Leurs Excellences NN.SS. Paul Desfarges,
Claude Rault et Jean Paul Vesco, respectivement
Evêque de Constantine et Administrateur
apostolique d’Alger, Evêque de Laghouat et
Evêque d’Oran, manifestent leur indignation
pour les attentats « planifiés de manière
diabolique ».
En exprimant leur « profonde compassion » aux
familles et aux amis des victimes, les Evêques
réaffirment leur conviction selon laquelle « rien
ne peut justifier ce massacre » et que « la
revendication de cette horreur perpétrée par une
organisation terroriste trop bien connue se cache
*derrière des prétextes religieux absolument
injustifiables ».
« Avec nos condoléances – ajoutent les Evêques
– nous exprimons également la crainte de voir se
confirmer et se renforcer les sentiments de
xénophobie et les attitudes anti-musulmanes qui
pèsent durement sur les fidèles de l’islam ».
« Nous espérons que ces actes innommables ne
donneront pas raison à ceux qui savent s’en
servir pour instiller la haine » concluent les
Evêques d’Algérie, qui affirment au contraire le
désir de « démontrer que la fraternité est possible
et que nos différences n’empêchent pas la
communion des cœurs et des esprits ».
(L.M.) (Agence Fides 17/11/2015)
mardi 10 novembre 2015
POLITIQUE
MYANMAR
Commentaires de l’Evêque
de Pathein
au lendemain des élections,
source « de nouvelles espérances
pour un avenir d’unité
au sein de la nation »
Yangon (Agence Fides) – « Nous nourrissons
de grandes espérances. Une nouvelle ère s’ouvre
pour notre pays, dont nous souhaitons qu’elle
soit marquée par l’unité. La population est
heureuse et il ne semble pas qu’existent des
risques de coup de main des militaires ». C’est
ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr
John Hsane Hgyi, Evêque de Pathein, l’un des
Diocèses du Myanmar, au lendemain des
élections démocratiques. Dans le cadre du
scrutin du 8 novembre, le parti du Prix Nobel de
la Paix, Aung San Suu Kyi a triomphé. La
victoire de la Ligue nationale pour la Démocratie
est confirmée par les premières données
officielles qui évoquent un résultat s’établissant
entre 60 et 70% des voix, même si les données
définitives seront disponibles seulement dans
quelques jours.
De son côté, le Parti d’union, de solidarité et de
développement, conduit par l’ancien Président et
Général en retraite Thein Sein, a admis sa défaite,
affirmant qu’il entend coopérer pour le bien futur
de la nation.
L’Evêque de Pathein affirme que « les élections
ont été fondamentalement pacifiques et le peuple
a pu exprimer ses préférences. La nouvelle ère
démocratique apporte le changement et la liberté
dont pourra bénéficier également l’Eglise
catholique et sa mission d’annonce de
l’Evangile. Les fidèles catholiques sont heureux
comme tous les autres citoyens. Nous confions
dans un avenir fait d’unité, de réconciliation et
d’harmonie. Tels sont les défis pour l’avenir du
pays que nous pourrons affronter avec un courage
renouvelé et une confiance revigorée avec la
contribution de toutes les composantes de la
société ». (PA) (Agence Fides 10/11/2015)
Commentaires de l’Evêque
de Pathein
au lendemain des élections,
source « de nouvelles espérances
pour un avenir d’unité
au sein de la nation »
Yangon (Agence Fides) – « Nous nourrissons
de grandes espérances. Une nouvelle ère s’ouvre
pour notre pays, dont nous souhaitons qu’elle
soit marquée par l’unité. La population est
heureuse et il ne semble pas qu’existent des
risques de coup de main des militaires ». C’est
ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr
John Hsane Hgyi, Evêque de Pathein, l’un des
Diocèses du Myanmar, au lendemain des
élections démocratiques. Dans le cadre du
scrutin du 8 novembre, le parti du Prix Nobel de
la Paix, Aung San Suu Kyi a triomphé. La
victoire de la Ligue nationale pour la Démocratie
est confirmée par les premières données
officielles qui évoquent un résultat s’établissant
entre 60 et 70% des voix, même si les données
définitives seront disponibles seulement dans
quelques jours.
De son côté, le Parti d’union, de solidarité et de
développement, conduit par l’ancien Président et
Général en retraite Thein Sein, a admis sa défaite,
affirmant qu’il entend coopérer pour le bien futur
de la nation.
L’Evêque de Pathein affirme que « les élections
ont été fondamentalement pacifiques et le peuple
a pu exprimer ses préférences. La nouvelle ère
démocratique apporte le changement et la liberté
dont pourra bénéficier également l’Eglise
catholique et sa mission d’annonce de
l’Evangile. Les fidèles catholiques sont heureux
comme tous les autres citoyens. Nous confions
dans un avenir fait d’unité, de réconciliation et
d’harmonie. Tels sont les défis pour l’avenir du
pays que nous pourrons affronter avec un courage
renouvelé et une confiance revigorée avec la
contribution de toutes les composantes de la
société ». (PA) (Agence Fides 10/11/2015)
mardi 3 novembre 2015
FAMILLE SALESIENNE
TURIN- ARCHIVES SDB
Don BERRUTI, Conseiller Général de Don
RICALDONE,
4e Successeur de Don Bosco, 1932-1951.
Berruti
parlava alle FMA sul coinvolgimento delle due
congregazioni salesiane nelle
opere dell’immediato
dopoguerra, averttendo : « Fra anni, i fatti
attuali, se non
saranno registrati, potranno sembrare fantasie e non realtà.
Documentiamo, dunque, anche per i posteri ».
Conferenza del Rev.do Don Berruti alle Ispetrici,
Torino, 30 ottobre
1946, in AGEMA.
Don Berruti
parlait aux Filles de Marie Auxiliatrice sur
l’association des deux
congrégations salésiennes dans les
œuvres de l’immédiate après-guerre. Il
affirmait : « Dans
quelques années, si les événements actuels
ne sont pas
enregistrés, ils pourront sembler des fantaisies et non pas la
réalité. Assurons donc cette documentation pour ceux qui
viendront après nous. »
(Conférence du Révérend
Don Berruti aux Provinciales,
Turin , 30 octobre 1946, dans AGEMA)
dimanche 1 novembre 2015
EGLISE
VATICAN
L’exemple du Bienheureux
Mgr Romero,
exemple pour une annonce
renouvelée de l’Evangile
Cité du Vatican (Agence Fides) – « Quelques
semaines avant le début du Jubilé extraordinaire
de la Miséricorde, l’exemple de Mgr Romero
doit constituer pour sa bien-aimée nation un
stimulus pour une annonce renouvelée de
l’Evangile de Jésus Christ, l’annonçant de
manière à ce que toutes les personnes Le
connaissent, pour que l’amour miséricordieux
du Divin Sauveur pénètre le cœur et l’histoire de
son bon peuple ». Telle est l’exhortation que le
Saint-Père François a adressé aux participants au
Pèlerinage provenant du Salvador, en signe
d’action de grâce pour la Béatification de S.Exc.
Mgr Oscar Arnulfo Romero, intervenue le 23
mai dernier.
Dans son discours aux pèlerins, reçus en
Audience le 30 octobre, le Pape a fait mémoire
de Mgr Romero comme d’un « bon pasteur, plein
d’amour de Dieu et proche de ses frères », qui en
est arrivé « à donner sa vie de manière violente,
alors qu’il célébrait l’Eucharistie, sacrifice de
l’amour suprême, scellant de son sang l’Evangile
qu’il annonçait ».
Aujourd’hui encore, « le sang d’un grand
nombre de chrétiens martyrs continue, de
manière dramatique, à être répandu dans le
champ du monde dans l’espérance certaine qu’il
portera du fruit au travers d’une récolte
abondante de sainteté, de justice, de
réconciliation et d’amour de Dieu ». Après avoir
rappelé que « l’on ne naît pas martyre. Il s’agit
d’une grâce que le Seigneur accorde et qui,
d’une certaine manière, concerne tous les
baptisés », le Pape François a expliqué que « le
martyr est un frère, une sœur, qui continue à
nous accompagner dans le mystère de la
communion des Saints et qui, uni au Christ, ne
devient pas étranger à notre pèlerinage terrestre,
à nos souffrances et à nos angoisses ».
Enfin, le Pape a mis en évidence le fait que le
martyre de Mgr Romero n’a pas eu lieu
seulement au moment de sa mort « parce qu’une
fois mort, il a été diffamé – j’étais un jeune
prêtre et j’en ai été témoin – calomnié, sali. Son
martyre fut poursuivi également par ses frères
dans le sacerdoce et dans l’épiscopat ».
(SL) (Agence Fides 31/10/2015)
Links:
Texte intégral du discours du Saint-Père
(en espagnol)http://press.vatican.va/content/salastampa/it/bollettino/pubblico/2015/10/30/0840/01873.html
L’exemple du Bienheureux
Mgr Romero,
exemple pour une annonce
renouvelée de l’Evangile
Cité du Vatican (Agence Fides) – « Quelques
semaines avant le début du Jubilé extraordinaire
de la Miséricorde, l’exemple de Mgr Romero
doit constituer pour sa bien-aimée nation un
stimulus pour une annonce renouvelée de
l’Evangile de Jésus Christ, l’annonçant de
manière à ce que toutes les personnes Le
connaissent, pour que l’amour miséricordieux
du Divin Sauveur pénètre le cœur et l’histoire de
son bon peuple ». Telle est l’exhortation que le
Saint-Père François a adressé aux participants au
Pèlerinage provenant du Salvador, en signe
d’action de grâce pour la Béatification de S.Exc.
Mgr Oscar Arnulfo Romero, intervenue le 23
mai dernier.
Dans son discours aux pèlerins, reçus en
Audience le 30 octobre, le Pape a fait mémoire
de Mgr Romero comme d’un « bon pasteur, plein
d’amour de Dieu et proche de ses frères », qui en
est arrivé « à donner sa vie de manière violente,
alors qu’il célébrait l’Eucharistie, sacrifice de
l’amour suprême, scellant de son sang l’Evangile
qu’il annonçait ».
Aujourd’hui encore, « le sang d’un grand
nombre de chrétiens martyrs continue, de
manière dramatique, à être répandu dans le
champ du monde dans l’espérance certaine qu’il
portera du fruit au travers d’une récolte
abondante de sainteté, de justice, de
réconciliation et d’amour de Dieu ». Après avoir
rappelé que « l’on ne naît pas martyre. Il s’agit
d’une grâce que le Seigneur accorde et qui,
d’une certaine manière, concerne tous les
baptisés », le Pape François a expliqué que « le
martyr est un frère, une sœur, qui continue à
nous accompagner dans le mystère de la
communion des Saints et qui, uni au Christ, ne
devient pas étranger à notre pèlerinage terrestre,
à nos souffrances et à nos angoisses ».
Enfin, le Pape a mis en évidence le fait que le
martyre de Mgr Romero n’a pas eu lieu
seulement au moment de sa mort « parce qu’une
fois mort, il a été diffamé – j’étais un jeune
prêtre et j’en ai été témoin – calomnié, sali. Son
martyre fut poursuivi également par ses frères
dans le sacerdoce et dans l’épiscopat ».
(SL) (Agence Fides 31/10/2015)
Links:
Texte intégral du discours du Saint-Père
(en espagnol)http://press.vatican.va/content/salastampa/it/bollettino/pubblico/2015/10/30/0840/01873.html
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